|
L'édito de Bane
Hein ? Quoi ? Non, pas lui !
La nouvelle arrive ce mardi 6 octobre, en soirée.
Journée maussade, soirée chiante, climat sinistre… Et puis ça. Le choc,
forcément. Le vrai choc, celui qui fait perdre l’équilibre. Assis sur mon lit,
j’encaisse la nouvelle : Eddie Van Halen est mort. Et avec lui, quelque part, c’est un peu
la guitare électrique toute entière et un mur porteur du rock qui meurent aussi.
Évidemment, je ne le connaissais pas personnellement, je ne l’avais jamais
rencontré. Mais hier, j’ai un peu eu l’impression de perdre un pote. Alors que
dire ? Que dire à Eddie – ouais, c’est presque un ami, finalement -, si ce
n’est : MERCI. Un bête merci, un grand merci, un éternel merci. Quoi d’autre
? « Repose en paix » ? Mouais, j’en doute. S’il y a quelque chose après
la mort, sois sûr qu’Eddie est parti noyé ce quelque chose dans un tsunami de
guitare. Si le fameux escalier vers le Paradis, cher à Led Zep, existe bien, Eddie y fait des
allers-retours, guitare à la main, sourire aux lèvres. C’est quand même pas
la mort qui va l’empêcher de s’exprimer, si ? Du coup, pour lui rendre hommage,
nous vous avons concocté cette édition spéciale. Et ce billet d'humeur, donc vous
pouvez lire l'intégralité à
cette adresse.
|