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L'édito de Didier
Le Hellfest 2014 aura encore été un grand cru. Un grand cru ensoleillé, qui plus est. On n'avait pas l'habitude, et du coup, on a souffert : de la chaleur et de la poussière. Mais les organismes ont de la resource, et la bière était fraiche, et au final tout s'est bien fini. Un plateau somptueux, des alternances de styles, des tentes à thème, de quoi satisfaire tous les metalleux et toujours plus de metalleuses, de sept à soixante-dix-sept ans. Franchement, chapeau bas à l'organisation sans faille du festival. Mais comment font-ils pour accueillir cent cinquante-deux mille personnes dans une telle ambiance de fête ? Et surtout comment font-ils faire pour 2015 ? Le site va t'il devoir déménager ? La date changer ? Comment encore trouver des têtes d'affiche inédites et de ce niveau ? Toutes ces questions, je l'espère, seront adressées à la rentrée, car on piaffe d'impatience de prendre nos places pour 2015. En attendant, si vous ne l'avez pas encore vu, je vous conseille le reportage du Petit Journal, que je trouve bien sympa. Et en plus, c'est un progrès, on n'y voit pas de culs poilus !
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